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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 17:08
J'ai voulu écrire, de nombreuses fois.

Ecrire pour dire les difficultés, les réussites.
Ecrire pour parler des petits monstres, de la difficulté d'être une maîtresse.
Ecrire pour vous dire qu'un joli petit brin de femme fait mon bonheur en comblant à elle seule l'absence des autres.
Ecrire pour vous dire qu'un joli petit brin d'homme fait de moi une femme.
Ecrire pour pleurer sur lui. Crier à l'injustice, et à l'indifférence, encore.
Ecrire pour affirmer que je suis forte, bien plus que je ne pouvais le croire. Bien plus qu'ils ne semblent le croire.

Ecrire pour les peines et pour les joies.
CIMG4497.JPG

Mais j'ai laissé le temps courir, et ma flemme endormir mes doigts.
J'ai envie d'écrire des lettres...
Elle partiront bientôt. Elles en diront beaucoup. Elles diront bonjour, au revoir. Elles diront le passé, le présent, mais pas l'avenir.

Je grandis.


J'apprends à surmonter les déceptions et les échecs, j'apprends à écouter les critiques. On m'a félicité pour mon ouverture d'esprit, mon intelligence et ma capacité à me remettre en cause.

Je grandis.

Je tempère mes propos, je n'écris presque plus sur des coups de tête. Je veux dompter la patience, le calme et la tempérance.
Je reste exigente, refuse la médiocrité. J'ai encore de la violence en moi, qui pointe le bout de son nez quand ma patience est mise à rude épreuve. Je fais des erreurs.

On m'apprend que l'erreur est pédagogiquement constructive.

Je mange les kilomètres. J'ai conduit sous la pluie, dans la nuit, le brouillard, sous la neige, sur le verglas.
J'ai rencontré une biche.
J'ai croisé son regard et la peur au fond de ses yeux. Je n'ai pas donné de coup de volant. J'ai ralenti, j'ai tremblé, et j'ai pleuré.
J'ai emmené mon homme voir Mickey, j'ai pris l'autoroute. Détendue et confiante. J'étais fière.

Ma délicieuse femme est partie à Singapour. Il faut que je reste forte, avec lui.

 
CIMG4521.JPG

"A nos joies, à nos peines, à tout ce qui nous ressemble, à la clarté de nos nuits...au moment des Amours..."
Da Silva, je t'aime.
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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 10:36
Deux semaines seulement après la rentrée, la maîtresse apprentie que je suis est déjà toute fatiguée...



Il faut dire que l'on nous gâte, pour ce début d'année!
J'ai eu mon affectation la veille de la pré-rentrée à effectuer avec les maîtres de mon école de rattachement. C'est sportif, surtout quand on ne nous livre pas ni l'adresse ni le numéro de téléphone de l'école, et que celle-ci est quasi introuvable sur le net! Mais voilà, mon stage filé se fait à l'école Arc-en-ciel de Beaudreville. Et là, on remercie notre petit ange d'avoir veillé sur nous et de nous avoir offert le permis au mois de juin.
J'ai fait des progrès fulgurant de ce côté là! J'avale les km, maintenant. Et je pourrais déjà écrire un livre avec toutes les bitises que font les gens quand ils sont au volant. Et j'en fais aussi, parfois, bien malgré moi.
Deux jours d'observation avec la maîtresse titulaire, et hop! En scène, la maîtresse stagiaire.
Jeudi et vendredi, deux journées éprouvantes avant ce week end bien mérité.
Jeudi, des haussements de ton, des silences, des cris. Bien plus ceux de mes charmants bambin de CP-CE1 que les miens, il faut l'avouer. Finir la journée avec un mal de tête carabiné et un brin déprimée et déçue. Un double niveau, c'est assez folklorique! Surtout à cet âge là... Impression de devoir être à la foire et au
moulin, et de se battre pour avoir l'attention. Je débute et les petits le sentent, il n'y a pas de doute!
Vendredi, pleine de courage et de bonnes intentions, on y retourne. Une nuit de sommeil, c'est salvateur. Des progrès, de mon côté comme du leur... Mais il me faut encore les apprivoiser, apprendre à apprendre.


Mais j'ai envie

Ma maîtresse titulaire est douce et connaît bien son métier. Et elle n'a pas tort, j'ai la fougue des débutants qui joue avec moi et qui m'aidera à tenir.

Je serai maîtresse. Et même Maîtresse. Avec la majuscule de l'expérience... Mais toujours avec l'accent circonflexe sur le i, malgré les récentes réformes de l'orthographe qui veulent le faire disparaitre.

Je suis fatiguée, mais heureuse.


Et j'aime, de tout mon moi.


(Le week end, la jeune maîtresse régresse doucement et s'offre deux épisodes du dessin animé "Princesse Sarah", pour renouer avec l'enfance...)   


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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 11:31
Préparer un concours est long, fastidieux. Difficile de trouver le temps d'écrire des notes ici, même si j'ai eu plusieurs fois l'envie de le faire. Au fil des mois j'ai été beaucoup moins présente sur internet, je me connectais peu, et souvent je le faisais pour trouver des documents susceptibles de m'aider dans ma préparation au CRPE.

Je vais vous la faire courte, mais intense.


JE L'AI EU !!!!

Et même pas sur liste complémentaire en plus. Incroyable.
J'ai également eu mon permis. Comme dirait un de mes copains, j'ai enfin le droit d'écraser les petites vieilles.

Je suis une conductrice timide... L'autoroute me fait peur, encore. Mais ça viendra sans doute. Il m'arrive de prendre la voiture juste pour une envie de conduire, sans savoir où aller. Je m'étonne, parfois.

Je suis donc professeur stagiaire, avec le permis en poche.
Dans un peu plus d'un mois, je ferais ma rentrée avec l'équipe de l'école où je serais affectée pour mon stage filé ( = 1jour par semaine devant les petits monstres). Je ne sais pas encore le niveau que l'on me confiera, ni le lieu exact de mon affectation. Le mystère plane encore...

J'ai hâte. J'ai peur.

Cette fin d'année scolaire a donc été riche, mais mouvementée. Mon petit monde que je croyais tenir sur des bases solides s'est un peu écroulé, fissuré. Et curieusement je ne tombe pas. La joie d'avoir réussi et de voir mon avenir se dessiner sous des traits qui me sont des plus agréables me donne confiance en la vie. Travailler avec des p'tits bouts, m'arracher les cheveux en essayant de leur apprendre à lire, à compter, à devenir des humains curieux et ouverts... Maintenant, il me reste à réapprendre à écrire en attaché avec des craies qui laisseront sans doute leurs traces sur la novice que je suis. A parfaire ma grammaire, qui laisse à désirer. Et à fixer toutes les connaissances que j'ai pu acquérir cette année, en plus de celles à venir.

Le plus beau métier du monde, dit-on...


J'ai confiance.


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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 20:13


Murmure des absents... Pont des sourires





 

    Cathédrale, O ma cathédrale!

    Aller vers toi, grimper.

    Volée de marches, 70 pas pressés.






   L'escargot sur la pendule est toujours en retard.
    Témoin du temps
    Tête écornée
    Horloge sans aiguille



          
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2 novembre 2008 7 02 /11 /novembre /2008 20:09

Dites-moi.

 
Dites-moi si je me trompe.


Des jours qui passent et rien qui bouge.
Une main qui reste vide,
Des paroles qui s’envolent.


Des promesses d’affection, d’amour.
Du vent qui s’engouffre et assèche ma gorge.
Un souffle au cœur, vif.


Et encore, et encore…


 
Absence


D’Affection.


De Présence.


D’un peu de chaleur humaine.


Alors...


Dites-moi si je fais fausse route.
Dites-moi si j'en demande trop.


Et si j'en demande trop pour vous, partez.


Je crois bien trop en l’Ami pour amenuiser mes espérances.

 



« Celui qui te quitte dans son malheur te donne autant la preuve qu'il n'a pas été véritablement ton ami que s'il te quittait dans ton malheur. » 

                                                         

                                   Merci à Toi, de m'avoir aidé à écrire.

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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 14:23
Et voilà, c'est fini...
Mes deux semaines de stage en cycle 3, et plus précisément au CM1, sont désormais derrière moi...
Je ne sortirai plus de chez moi à 8h25 pour arriver à l'école François Villon, rue de la Planche aux carpes, à 8h30 ; heure réglementaire de début des cours pour les valeureux élèves de primaire.
Je n'aurai plus deux heures pour manger, et un peu moins si la maîtresse est disposée à papoter questions pratiques.
Je n'aurai plus les longues récréations dynamiques et bruyantes dans la cour au sol jonché de marelles permanentes.
Je n'aurai plus les pleurs des enfants heurtés par les bousculades, les coups de pieds et autres jeux de mains maladroits et déplacés.
Je n'aurai plus la présentation des jeux et gadgets à la mode : cartes pokémon, téléphones presque comme ceux des grands, tamagotchi version new age, littlest pet shop et autres...
Je ne verrai plus Mr Payet, professeur d'anglais dynamique et absolument charmant.
Je n'aurai plus ma place en fond de classe, là où on voit tout ce qui se passe dans ce petit monde, porte fermée.
Je n'observerai plus avec attention cette maîtresse souriante, aimée de ses élèves et efficace, transmettre du savoir et éveiller les esprits de ces loustics bavards et gesticulants.

Ces moments vont me manquer.

J'ai donné mes deux premiers cours de français devant une classe, et corrigé mes premières copies d'élèves. Au stylo rouge.
J'ai recommencé à écrire en attaché, comme il se doit. Le résultat n'est pas fameux, mais j'y arriverai bien un jour.

Etre maîtresse, je ne sais pas encore tout ce que ça représente, mais j'aime ça.

Et ça m'est un réel soulagement.

Ce fichu concours, il faut que je l'aie.



J'aurai voulu vous présenter les enfants que j'ai appris à connaître pendant ces deux semaines, mais je n'en ai pas l'autorisation.
Mais une chose est sûre, mes premiers élèves temporaires resteront dans ma mémoire.

Une grande pensée pour eux : Paul, Camille, Marianne, Paul, Hubert, Lucas, Léopold, Patricia, Dorian, Daryl, Pierre, Charlotte, Nicolas, Emma, Gauthier, Simon, Thibault et Cybille.

Et une particulière pour Daryl, qui m'a offert mon premier fou rire tout à fait déplacé en pleine évaluation de vocabulaire, et à Lucas, pour avoir prolongé cette taquinerie tout au long de ma dernière journée.


** Daryl, relevant soudain la tête de sa copie : Tu as mis du parfum.
    Moi, chuchottant, le sourire aux lèvres : En effet...
    Daryl : Il ne faut pas, c'est interdit.
    Moi, étonnée : Ah oui? Vraiment? Je ne vois pas pourquoi.
    Daryl, regard malicieux et sourire taquin : Oui. Sinon, les hommes ils vont tomber.
    Moi, me retenant de rire.
    Daryl, me fixant droit dans les yeux : N'essaie pas de te retenir va, tu n'y arriveras pas.

Et toute la journée... "Je vais tomber, je vais tomber, je vais tomber" **


Love ya, petits coquins!
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19 octobre 2008 7 19 /10 /octobre /2008 13:56
Depuis que j'ai obtenu ma licence en Etudes théâtrales et quitté la fac à Paris, le théâtre a moins de place dans ma vie.
Ca fait un moment que je n'ai pas lu une pièce, et  je ne parle pas des ouvrages de théorie sur le sujet.
Je suis retournée au théâtre la semaine dernière, pour la première fois depuis plus de 2mois et demi. Et 2mois et demi, pour moi, c'est extrêmement long. Là bas, dans la pénombre de la salle, devant la compagnie 111 (d'ailleurs absolument géniale), je me suis sentie revivre. C'est horriblement cliché, convenu, mais c'est ainsi, réellement. C'était une véritable bouffée d'oxygène. Mais à vrai dire, ce n'est pas le propos de mon article. Et ce, même s'il faudrait vraiment que je prenne le temps d'écrire quelques mots sur leur spectacle, ils méritent de se faire connaître.

En fait, je viens ici vous encourager à aller voir un autre spectacle.
C'est un spectacle mis en scène par un copain de fac, Rodolphe Corrion.
Je suis déjà allée voir une pièces mise en scène par lui au mois de mars, et je ne le regrette pas. On a parfois la chance de croiser sur les bancs de la fac des gens qui ont un vrai talent.
Cette nouvelle mise en scène, je ne l'ai pas vu intégralement mais j'ai tout de même eu la chance de la découvrir en avant première à la fête théâtrale de Paris III, alors qu'elle était encore en travail.
C'est un monologue, basé sur l'Iliade d'Homère. Une façon unique de (re)découvrir ce texte riche.

Je ne peux dire grand chose de plus... Allez y, allez voir par vous-même :-)

Il faut encourager les jeunes metteurs en scène...Et pour cela, nous avons besoin de vous. Du public, sans lequel ils ne seraient rien.

J'aurais voulu vous mettre ici l'affiche du spectacle, mais le format n'est pas accepté (et l'informatique a des secrets que j'ignore).
So vous aurez juste les infos basiques et nécessaires pour vous renseigner :-) Sorry!




**** Hélène, d'après l'Iliade d'Homère, mes Rodolphe Corrion
Jeu et violon : Audrey Daoudal
à 20h30 au Théâtre du Temps du 8 au 12 Novembre.
9 rue du Morvan 75011 Paris     Métro Voltaire
Réservations au 01 43 55 10 88
Tarifs : 18/15 Euros ****

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29 septembre 2008 1 29 /09 /septembre /2008 17:23

Je l'attendais avec impatience, cette soirée.
J'imaginais un retour aux sources salvateur, véritable petite bulle de bonheur et de légéreté au milieu de mes premiers pas difficiles à l'IUFM.
Je voulais les voir autrement, habillés pour une occasion, sans limite. Je les voulais déguisés, et ils ont joué le jeu.

Et ça valait diablement le coup! Les amis, comme vous étiez beaux...

Pique-niquer avec eux sur une simple nappe déposée sur un parquet posé par mon papa,
Devenir une autre personne, un peu, sous le voile du déguisement,
Laisser filer le temps et se coucher tard, bien tard.

Une soirée inoubliable, et un appart' bien vide aujourd'hui...

Les photos restent, et leur pouvoir est effarant.
J'ai de nouvelles images de bonheur.







           Mes amis, ce sont les meilleurs du Monde.



        
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12 septembre 2008 5 12 /09 /septembre /2008 20:53
Un nouveau chapitre de ma vie s'ouvre...
La vie à Chartres, la vie à l'IUFM.
J'ai eu ma pré-rentrée jeudi, d'ailleurs. J'vous raconte? Allez...



Pour commencer...


Un appart', pas encore fini, à la rue de la Foulerie...
Une Dame Li étonnée de ne trouver qu'arte pour habiller sa télé.
Finir par regarder un documentaire sur l'obésité,
Et se coucher dans le salon, sur un clic-clac aux draps boulochés.

Goûter le silence, apprivoiser le lieu inconnu.
Regarder ses jolies poutres dans la pénombre.
Se dire qu'on y sera bien, dans ce nouveau cocon...

Et être arrêtée nette dans ses pensées,
Faute au chauffe-eau qui lui vient de se réveiller,
Et m'encourage par ses schklung schklung à aller le voir dans l'entrée.

Les berceuses n'ont pas d'effet sur les chauffe-eau, sachez-le.
Les larmes de fatigue, ça valait le coup d'essayer.

Dans la rue, le vrombissement des voitures me semble familier...Agréable.


Pour continuer...


Un réveil au petit matin, retrouver ses repères.
S'être levée plus tôt, pour avoir le temps de brosser ses cheveux...
Avec une fourchette, oubli d'instrument usuel oblige.

Partir en avance, pour pouvoir s'égarer...
Prendre la navette gratuite à la porte Guillaume,
Avoir chaud.

Sourire au gamin qui nous regarde des étoiles dans les yeux et se cache derrière son siège.

Suivre une demoiselle par instinct, et se tromper de chemin.

Arriver à l'heure, malgré tout.
Traverser la Cour d'Honneur, et entrer à l'IUFM, enfin.

Descendre l'escalier en colimaçon, s'engouffrer dans un amphi minuscule.

Découvrir les visages des habitants des lieux, écouter leur voix, sourire.
Avoir peur.
Ne plus savoir quoi choisir.
Vouloir faire le module de Littérature de Jeunesse, pour l'admission.
Entendre que c'est le plus difficile...
Hésiter, leurs arguments sont bons.

Arts visuels? Je devrais m'en sortir.
Mais non. Mon choix était fait, et il me plait.
Alors être têtue, une fois de plus. Advienne que pourra...

Choisir aussi la course sur 1500m, et pas la danse.
Tututu, ne recommencez pas. J'y arriverai.

Une jolie demoiselle à mes côtés,
Rigolotte,parlotte facile. Zut, elle fait allemand!
Elle sera donc en I.
Et moi? En J. Ou en K. Ou en L. Ou en M. La surprise du chef, lundi matin. Juste avant le cours.
(Un emploi du temps qui change toutes les semaines, ça évite les projets à long terme.)

Une association de Littérature de Jeunesse qui s'appelle "Au clair de la plume", c'est joli non?

Pour terminer...

Un apéro au Kir, à l'IUFM, c'est funky-étonnant.


Lundi c'est pour de vrai.
J'ai peur. J'ai hâte.


Et pour encore plus de coq à l'âne...

Sur mon lecteur mp3, en lecture de tous les fichiers, le chanson "Dans mon coeur" de Bia précède "Dans ton cul", de Mademoiselle Sane. Découverte qui m'a fait doucement sourire à l'écoute...


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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 13:40

Peut-être ne le savez-vous pas, mais un de mes passe temps favori est la création de collages.
Celui-ci est le dernier en date, il a à peine trois jours de vie.
C'est modeste, sans doute sans grande qualité réelle, mais il me plait plutôt bien.

C'est ma vision à moi des Arts de la scène, en bref, en collé.

Vous en pensez-quoi? :-)


PS : N'ayez pas peur, allez-y... Mon doux papa le trouve trop chargé, par exemple...

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